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Festival des cinémas arabes

du 28 juin au 28 juillet 2018

Institut du Monde Arabe
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Ils s’appellent Tamer Ashry, Lucien Bourjeily,Yasmine Chouikh, Mohamed Achaour, Meryem Benm’Barek, Muayad Alayan, Gaya Jiji, Sarra Abidi... Ils sont nés en Algérie, en Syrie, au Liban, ou encore en Irak, en Palestine, en Tunisie et jusqu’aux Émirats arabes unis. Beaucoup sont jeunes, très jeunes même – pas encore 25 ans ! –, et tous ont choisi de passer derrière la caméra pour dire leur monde arabe, ce monde enfiévré dont l’Institut du monde arabe se propose, année après année, de faire découvrir les nouveaux talents. Drame ou comédie, qu’importe, il s’agit encore et toujours, pour reprendre les mots du réalisateur égyptien Ahmed Amer, à propos de son Kiss me not, en l’occurrence dans une veine comique, de « faire un film qui soit intéressant et qui fasse un peu réfléchir... »

Avec le Festival des cinémas arabes, voici le cinéma remis à l’honneur à l’IMA, douze ans après la dernière Biennale des cinémas arabes à Paris (1992-2006) qui lui avait valu de devenir une référence mondiale en matière de 7e art.

Un nouveau cycle s’ouvre donc avec cette édition pleine de promesses. Au programme, plus de quatre-vingts films, fictions et documentaires, courts et longs, tous produits ces deux dernières années. À l’issue de la compétition, un trophée sera remis aux lauréats. À l’image d’un 7e art dont la maturité le disputera toujours à la jeunesse, sa conception en a tout naturellement été confiée à un jeune créateur, Bastian Ogel (EnsAD). Qu’il en soit ici remercié. - Jack Lang

 

La Cité internationale des arts est partenaire du festival et accueille en résidence les participants aux ateliers d’écriture de scénarios court métrage, un programme conçu pour aider les cinéastes à développer leur esprit critique, leurs compétences techniques et narratives.